Aller plus loin avec Linux
Découvrir Linux - aller plus loin
Aller un peu plus loin
Maintenant que vous êtes plus familier avec le pingouin, poussons un peu plus loin l'exploration.
Connexion en mode texte, ou "de l'utilité de connaître quelques notions de shell"
Lorsqu'on parle de shell, il n'est pas question de partir ramasser des coquillages (shell en anglais) mais de vous parler de la ligne de commande de Linux (équivalent à l'environnement du mode DOS dans les systèmes Microsoft). Votre distribution vous propose un certain nombre d'outils graphiques ô combien plus conviviaux que la ligne de commande. Toutefois dans certaines situations, il vous sera bien utile de savoir utiliser quelques commandes de base pour manipuler les fichiers, obtenir des informations sur votre système, arrêter un programme...
Pour plus d'informations, lisez la fiche "la ligne de commandes" ou encore l'excellent ;) article sur le shell de Léa ; voici en avant-première quelques commandes indispensables à connaître :
Commande Linux | équivalent MsDos | à quoi ça sert |
cd | cd | change le répertoire courant. |
ls | dir | affiche le contenu d'un répertoire |
cp | copy xcopy |
copie un ou plusieurs fichiers usage : cp source destination pour copier un répertoire : cp -R rep_source destination |
rm | del | efface un ou plusieurs fichiers |
rm -rf | deltree | efface un répertoire et son contenu |
mkdir | md | crée un répertoire |
rmdir | rm | efface un répertoire s'il est vide |
mv | ren move |
déplace ou renomme un fichier usage : mv source destination |
man | help | affiche l'aide concernant une commande particulière |
cat | type | affiche un fichier à l'écran |
Explorer le manchot
Comme on vous l'a déjà conseillé, il est souvent fort utile de connaître quelques commandes en ligne. De la même façon, vous gagnerez du temps si vous avez un minimum de connaissance sur l'arborescence d'un système Linux. En clair, ne pas avoir à chercher 2 heures un fichier :). Cette arborescence respecte une certaine logique et les répertoires de la racine ont chacun leur rôle : vous pouvez lire ici la description de l'arborescence de base d'un système Linux.
Vous entendrez peut-être parler de FHS ou de LSB. Kesako ? LSB (Linux Standard Base) se base sur FHS (Filesystem Hierarchy Standard) afin de définir la manière dont les fichiers doivent être organisés sur le disque dur, la présence et les noms de certains fichiers et répertoires, etc. afin que les différentes distributions de Linux soient compatibles entre-elles, pour faciliter notamment l'installation d'un logiciel sur toute distribution. Les distributions récentes respectent assez bien la LSB, mais des efforts restent à faire afin de pouvoir installer un paquet .rpm de Mandriva sur une Fedora (et vice versa).
Equipons le manchot : installation de logiciels
Pour installer un logiciel sous Linux, vous aurez plusieurs méthodes à disposition que nous allons classer de la plus conviviale à la plus ardue :
- l'installation de packages livrés avec votre distribution (fichiers *.rpm, *.deb, *.tgz) : savez-vous que la plupart des logiciels libres dont vous aurez besoin sont sur les CD ou les dépôts (miroirs ou repositories) de votre distribution ? Pour les installer, utilisez donc les interfaces graphiques (gdebi, kpackage, rpmdrake ou drakrpm, aptitude, synaptic... selon les distributions).
- l'installation d'autres packages (téléchargés, etc.). Pour la simplicité, préférez les packages dits "binaires", c'est à dire déjà compilés.
- l'utilisation des interfaces graphiques : gdebi, kpackage, rpmdrake, synaptic... Pas de surprise, la souris suffira et en un clic votre programme sera installé
- la ligne de commande : une fois bien assimilé, ce mode d'installation peut s'avérer encore plus rapide. Sous Debian et Ubuntu, utilisez
apt-get
; sous Mandriva,urpmi
, sous Red Hat et Fedora,yum
; voir aussi tous les secrets de la commande rpm. - la compilation des sources : le fin du fin ! La méthode préférée des puristes et qui vous permettra d'optimiser votre programme à votre configuration matérielle.
Le manchot me parle : où retrouver les informations disponibles ?
• Souvent vous aurez ce genre de message sur votre console :
You have new mail in /var/spool/mail/root
En effet, le système communique avec ses utilisateurs au moyen de courriers électroniques envoyés sur une boîte aux lettres locale. Il fournit des infos concernant l'état des services réseau, des infos sur la sécurité. (Il est d'ailleurs possible de choisir le type d'infos ainsi envoyées). Pour les consulter, on utilise la commande mail comme ci-dessous :
root@pingu# mail
Mail version 8.1 6/6/93. Type ? for help.
"/var/spool/mail/root": 1 message 1 new
>N 1 root@pingu.linuxerie Wed Sep 25 04:02 80/2205 "LogWatch for pingu"
Par exemple, ici vous avez un nouveau mail (signalé par N ). Pour le lire, c'est simple il suffit de taper son numéro après le prompt ?. Pour les effacer, on tapera d suivi du numéro de mail. Pour quitter, on tape q (plus d'infos avec man mail).Si consulter vos mails de cette façon vous rebute (et j'avoue qu'il y a de quoi ;-), vous pouvez configurer votre client de mails graphique (Kmail, Sylpheed, Mozilla Thunderbird, Evolution, Balsa...) afin qu'il récupère les mails de la boîte locale, et vous les présente ainsi dans son interface.
• Vous avez besoin d'informations sur votre système et votre manchot vous en a délivrées au démarrage... Ca va un peu vite non ? Qu'à cela ne tienne, vous pouvez retrouver ces infos en tapant la commande dmesg. Il y a plus d'informations que peut n'en contenir l'écran ? essayez la commande "dmesg | less"...
• Des informations très intéressantes se trouvent dans le fichier /var/log/messages (messages du noyau, lancement de drivers, etc.). Consultez-le aussi en cas de problème.
• Le répertoire /var/log contient aussi d'autres fichiers du même genre, comme par exemple les messages du serveur X (couche graphique), que vous pouvez consulter si le mode graphique refuse de démarrer.
• Pour des informations plus détaillées (matériel, système, mémoire...) jetez un oeil sur l'excellent article de Jonesy, explorer sa configuration.
Le multimédia sous Linux
ce paragraphe reste à finaliser, néanmoins nous vous livrons en avant-première les points qui y seront abordés, avec, quand c'est possible, des liens vers les articles de Léa.
- le son (Matériel, les radios sur internet), jouer un cd audio, jouer un mp3 (xmms), enregistrer des sons (gramofile, rezound...)
- la video : le divx et ses amis, Mplayer, VLC, le lecteur de dvd Xine (autre article), decss, ...
- la télé sous Linux
- photo numerique -> gphoto2 ou usb storage (voir la driverthèque)
- webcam -> xawtv, autres (gtkcam ?)...
- graver -> en ligne de commande, ou en mode graphique : voir la logithèque.
Connectez-vous !
- ln -s /dev/ttyxxxx /dev/modem, se connecter à internet, liens pour les winmodems sur la Rubrique : configurer son matériel, l'ADSL, les modems ADSL speedtouch et ECI, les drivers ADSL, lien pour numeris : http://www.linux-france.org/article/connex/ISDN, cable (noos)
- liens vers l'admin réseau, petit paragraphe pour expliquer les basiques...
- reseau -> commandes de base (à écrire)
- le minitel sous Linux
- faxer avec Linux
Linux cohabite avec Windows et MacOS
Comme vu dans le paragraphe consacré au gestionnaire de démarrage, il vous est possible de conserver des systèmes d'exploitation différents sur votre machine. Vous pouvez choisir celui que vous allez démarrer. Il vous est également possible d'accéder à partir de Windows à vos données Linux. Il existe pour cela un utilitaire très simple, à installer sur Windows : explore2fs
A écrire : accés aux données Linux depuis MacOS.
Le contraire est également possible. Il vous est possible d'accéder à vos données Windows en étant sous Linux. Pour mettre à disposition ces données, on utilise la commande mount déjà rencontrée :
root@pingu# mount -t vfat /dev/hda3 /mnt/windows
où /dev/hda3 est la partition contenant Windows.
Vous pouvez également ajouter ces informations dans le fichier /etc/fstab de la manière suivante :
root@pingu#cat /etc/fstab
...
/dev/hdc3 /mnt/windows vfat defaults 1 2
Remarque : si vous utilisez un windows récent ou un windows NT, vos partitions windows sont peut-être formatées au format NTFS et non Fat32 (ou vfat). Dans ce cas, remplacez le vfat ci-dessus par ntfs. Cependant, le pilote NTFS de Linux ne peut à l'heure actuelle accéder aux partitions NTFS qu'en lecture seule. Vous devrez alors prévoir une partition en Fat32 afin de pouvoir "envoyer" des informations dessus depuis Linux qui pourront être relues sous Windows...
Autre possibilité : vous disposez de logiciels développés pour Windows et vous souhaitez pouvoir continuer à les utiliser. C'est possible grâce à [../software/wine.php3 Wine]. Il s'agit d'un programme qui émule Windows (c'est à dire qu'il simule son fonctionnement). Tous les programmes ne fonctionnent pas, mais il peut être intéressant de tester celui qui vous intéresse (pour information, Microsoff Word, Excel et Powerpoint fonctionnent, Lotus Notes, etc.). S'il ne fonctionne pas, essayez avec la toute dernière version de Wine...
Il existe également un émulateur DOS, Dosemu.
Si vous utilisez un ordinateur Apple, vous pouvez lancer MacOS sous Linux, et cela fonctionne très bien. Utilisez pour cela MacOnLinux.
Afin d'accéder aux données MacOS depuis Linux, le cas ressemble au cas NTFS décrit ci-dessus. Soit votre disque est formaté au format HFS. Dans ce cas, Linux saura y accéder sans problème (remplacez le vfat ci-dessus par hfs). Mais les MacOS récents formatent les partitions dans le nouveau format HFS+ par défaut. Si vous êtes dans ce cas, le pilote HFS+ pour Linux étant encore au stade du développement, vous devrez prévoir une partition d'échange au format HFS afin de pouvoir "envoyer" des informations dessus depuis Linux qui pourront être relues sous MacOS, et utiliser les hfsplus-utils qui permettent de lire les partitions HFS+.
Remarque : Si vous souhaitez passer en douceur au monde du libre, n'oubliez pas qu'il existe des logiciels libres développés pour Windows et/ou MacOS. Une liste non exhaustive des logiciels les plus connus :
- outils bureautique : OpenOffice
- Navigateur Internet : Firefox
- Email : Thunderbird
- graphisme : The Gimp
- sécurité : GnuPG
- serveur Web : Apache
Vous pouvez retrouver encore plus de logiciels libres sur la compilation GNU Win II, que nous vous conseillons fortement de télécharger et de partager si vous avez une connexion à haut débit.
Administrez votre machine
L'utilisation du shell
On l'a déjà dit, il existe de nombreux outils de configuration en mode graphique pour le système. Toutefois connaître les bases de la ligne de comande pourra vous dépanner en cas de dysfonctionnement de l'interface graphique, ou tout simplement vous permettra de répondre à cette grande question "dis Nux, comment tu marches ?":). Ci-dessous quelques liens indispensables :
- les entrailles du shell
- Catégorie:Trucs Shell pour mieux comprendre ou faciliter le travail
- les bases de la programmation du shell
Les programmes exécutables
Avant d'aborder les programmes exécutables, une précision sur les chemins d'un fichier. Il y a en effet 2 façons de nommer un fichier et son chemin. Pour illustrer cet exemple, je pars du principe que je me situe dans le répertoire /home/anne et je veux décrire le fichier /home/anne/essai/doc :
- chemin absolu : je décris tout le chemin pour arriver jusqu'au fichier, en partant de la racine "/". Donc dans mon exemple, j'ai /home/anne/essai/doc
- chemin relatif : je décris le chemin pour arriver jusqu'au fichier, en partant de ma position actuelle. Donc dans mon exemple, j'ai essai/doc Remarque : dans un chemin, le "." désigne le répertoire courant et ".." le répertoire juste au-dessus (appelé aussi répertoire père).
Lorsque vous souhaitez exécuter un programme, en plus des [../admin/permissions.php3 droits] vous devrez porter attention à une variable d'environnement importante : PATH. En effet, lorsque vous voulez lister le contenu d'un répertoire, vous tapez ls et non pas /usr/bin/ls. Car le shell consulte le contenu de la variable PATH. PATH est la variable qui contient tous les chemins dans lesquels le shell va aller chercher votre commande
Exemple :
anne@pingu$ echo $PATH
/usr/local/bin:/usr/bin:/bin:/usr/X11R6/bin
Donc si lorsque vous tapez une commande, le shell vous renvoie le message "bash: truc: command not found", vous avez 2 cas de figure : soit la commande n'existe pas, soit le chemin de la commande ne figure pas dans PATH. Si vous voulez absolument exécuter truc sans modifier PATH, il suffit de préciser le chemin de la commande.
Astuces :
- pour savoir où se situe une commande, utilisez whereis
Exemple :
anne@pingu$ whereis ls
ls: /bin/ls - la plupart des commandes de base se trouvent dans /bin et /usr/bin pour les commandes utilisateurs et /sbin et /usr/sbin pour les commandes administrateur
Commandes de base de l'administration système
Ci-dessous une série de commandes de base. Pour plus de précisions sur la syntaxe, consulter la documentation de la commande : taper dans une console :
$ man nom_de_la_commande
Rôle | Commande | Exemple |
Pour obtenir la date système, ou privilège réservé à root, modifier cette date | date | root@pingu# date mar déc 3 13:54:33 CET 2002 |
Pour connaître la place disque utilisée par un fichier, un répertoire | du | root@pingu# du -ks /home/anne 388420 /home/anne |
Pour connaître la place disponible dans un système de fichiers | df |
root@pingu# df Système de fichiers 1K-blocs Utilisé Disponible U.% Monté sur /dev/hdc3 4031560 107780 3718980 3% / /dev/hdc1 198313 9181 178878 5% /boot /dev/hda7 3968852 3219768 547472 86% /home |
Monter / démonter un système de fichiers (mettre à disposition les données) - opération à effectuer pour accéder notamment au contenu d'un CD-ROM ou une disquette | mount umount |
root@pingu# mount /dev/cdrom /mnt/cdrom |
Pour formater une partition, une disquette, c'est-à-dire créer un système de fichiers (ici ext2 ou ext3) | mkfs.ext2 mkfs.ext3 |
root@pingu# mkfs.ext2 /dev/floopy root@pingu# mkfs.ext3 /dev/hda3 |
Créer un utilisateur, un groupe | useradd groupadd |
root@pingu# useradd anne root@pingu# groupadd utilisateur |
Pour gérer en ligne de commande le démarrage ou l'arrêt d'un service |
service chkconfig |
root@pingu# service samba start root@pingu# /etc/init.d/samba start root@pingu# service samba stop root@pingu# chkconfig --level 2345 samba on |
Pour réaliser des sauvegardes compressées ou non de mes données. | tar | root@pingu# tar cvzf /home/anne anne.tar.gz root@pingu# tar xvzf anne.tar.gz |
Pour lister les processus tournant sur ma machine | ps |
root@pingu# ps -aux USER PID %CPU %MEM VSZ RSS TTY STAT START TIME COMMAND ... root 524 0.0 0.2 1336 356 ? S Dec02 0:00 klogd -x rpc 533 0.0 0.3 1484 432 ? S Dec02 0:00 portmap rpcuser 552 0.0 0.4 1528 544 ? S Dec02 0:00 rpc.statd ... |
Ceci précisé, et même s'il est extrêmement utile de connaître les commandes en ligne, vous avez des outils graphiques à votre disposition pour administrer votre machine. L'un des plus répandus et des plus complets est sans doute webmin. Il vous permet d'administrer votre machine soit en local, soit à distance au moyen d'un navigateur.
Automatiser le montage des systèmes de fichiers (périphériques fixes ou amovibles)
Dans les commandes déjà évoquées à plusieurs reprises figure la commande mount. On a vu qu'elle permettait de monter un système de fichiers et donc de mettre à disposition les données du système de fichiers.
Le fichier /etc/fstab vous permet d'automatiser dès le démarrage de la machine le montage des systèmes de fichier, avec la possibilité d'utiliser toutes les options de la commande (montage en lecture seule, type de système de fichiers, ...).
Le fichier est également utilisable pour les supports dits amovibles comme les CD-ROM et les disquettes. On a recours pour cela à supermount ou d'autres outils plus modernes (hal).
Le noyau Linux
Une fois que vous vous êtes familiarisé avec l'environnement Linux, vous êtes fin prêt pour découvrir toutes les arcanes du noyau Linux. Vous aurez besoin de recompiler le noyau pour changer de version (correction de trous de sécurité, prise en charge de nouveaux drivers), parce que vous ajoutez un nouveau matériel non pris en charge par votre noyau ou tout simplement pour pouvoir dire "je l'ai fait !" :)). Il paraît même que cela provoque du plaisir à certains geeks ;)
Pour tout savoir de la compilation étape par étape, consultez l'article sur le noyau (kernel) de Linux.
Matériel
Cette partie n'est pas encore finalisée.
Video
- la 3D =>voir l'article Cartes video Nvidia, Cartes video ATI, autre article sur les cartes ATI, etc.
- plusieurs moniteurs/cartes graphiques ? lisez l'article sur le multihead.
- télé (logiciels, etc.), pilote, modules.conf
Stockage
- installer un zip //, scsi ou usb (modprobe, etc.) + cf la Catégorie:Trucs & astuces
- adaptateur flash/usb, pour les clefs USB, ainsi que les adaptateurs USB compact flash, etc.
- aujourd'hui tous les périphériques de stockage USB fonctionnent sans problème avec Linux et de manière automatique
Impression
Suivez tout d'abord la procédure d'installation de votre distribution. En cas de problème, lisez les articles suivants :
- installer une imprimante
- Imprimantes HP (les mieux reconnues sous Linux, car HP développe des drivers libres permettant à notre OS préféré d'en utiliser toutes les fonctionnalités)
KDE dispose dans le panneau de configuration d'outils graphiques pour gérer les imprimantes. Utilisez-les pour plus de simplicité ! Ils fonctionnent avec les 2 systèmes d'impression rencontrés, à savoir CUPS (Mandriva...) et lpr (autres distributions).
Multimédia
- Les cartes radio
- Les scanners Scanners sur interface USB, parallèle, & SCSI.
- Les tablettes graphiques Wacom, Acecad Flair...
- Les webcams.
- Les joysticks
Laptops et PDA
- palm, zaurus (voir l'article flash usb)...
- laptops : voir le site tuxmobil, anciennement mobilix
Prêt ? Partez !!!
Voilà terminée notre présentation de Linux. Vous êtes maintenant prêts à exploiter toutes les possibilités du pingouin. Que peut-on attendre de Linux en tant qu'environnement de travail ? Enormément !!! On a répertorié pour vous les grands groupes d'applications avec les équivalents Linux / Windows... Bande de petits veinards :-)
Copyright
Copyright © 01/12/2002, Jice et Anne
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