Voila le mail envoyé :
"Bonjour,
A l'heure ou la défense du service public fait la une de l'actualité (edf/gdf, france télécom, la poste) je tiens à vous signaler mon mécontentement devant l'impossibilité d'utiliser votre service "la lettre recomandée electronique". Je suis utilisateur d'un systeme d'exploitation libre "GNU/Linux" et à ce titre je recois inexorablement le message
" Le service que vous souhaitez utiliser nécessite dans sa configuration actuelle le navigateur Internet Explorer de Microsoft, à partir de sa version 5.Vous pouvez télécharger le navigateur Internet Explorer 6.0, fourni avec le système d'exploitation Windows."
Ce service est donc reservé aux utilisateurs d'un systeme propriétaire en situation de monopole. Vos choix techniques ne font que renforcer cette situation de monopole d'une société privée et fermée. Croyez vous vraiment défendre service public en faisant de tels choix ? Le temps et peut etre venu de mettre en acte vos belle (vaines ?) paroles....
En vous souhaitant une bonne journée
Vincent, simple utilisateur du service public
Et la réponse de la poste :
"Cher Monsieur ,
Nous avons bien reçu votre message, et nous vous en remercions.
En effet, votre ordinateur doit être équipé d'un accès Internet et d'un Navigateur (version 5 ou supérieure de Microsoft Internet Explorer). Ce dernier doit s'exécuter sur un système d'exploitation Windows et être paramétré de façon à accepter les communications en mode sécurisé https (SSL v3), les cookies de session, ainsi que l'exécution de scripts javascript.
Cependant nous transmettons votre demande au service concerné et nous vous tiendrons informé chaque fois qu'une amélioration du service sera effective.
Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire, rubrique « Nous écrire »: [
www.laposte.net]
Cordialement.
Le Service Clients laposte.net
y'a plus qu'a attendre l'amelioration du service...
Nombreux sont ceux qui vivent et qui méritent la mort. Et certains qui meurent méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser la mort en jugement. Car même les très sages ne peuvent voir toutes les fins.